Le Meiselocker – winstub moderne à Strasbourg
J’avais promis de vous en parler et je n’ai pas oublié! J’ai découvert une winstub moderne super sympa à deux pas de la cathédrale : le Meiselocker.
Le Meiselocker, une winstub moderne à deux pas de la cathédrale
J’ai encore trouvé une bonne adresse proche de la cathédrale qui n’est pas attrape touriste ou hors de prix ! Si, si : je vous jure que c’est possible!
Le Meiselocker est ce que l’on peut appeler une winstub moderne. Une décoration inspirée des bonnes vielles winstubs alsaciennes avec des touches de modernité qui vont plaire aux locaux qui n’aime pas le « kitsch ». Modernité qui se retrouve aussi dans l’assiette.
Des mets de qualité à un bon rapport qualité-prix
Au Meiselocker, c’est la gastronomie alsacienne qui prime puisqu’on y travaille des plats qui ont plusieurs générations : choucroute garnie, jarret braisé au pinot noir, pomme de terre bibeleskaes etc.
Il y a également des plats traditionnels de brasserie qui s’ ajoutent à la carte comme le quasi de veau forestier, un incontournable du restaurant qui en vaut le détour!
La qualité des plats réside bien évidemment dans la qualité des matières premières : au Meiselocker on travaille des produits frais et locaux avec, entre autres, des produits provenant de la ferme Obrecht, Colmar Frais ou encore du marché des Rohan. Bien entendu, le second facteur de réussite est le savoir faire des cuisiniers.
Ah oui, j’oubliais ! Les vins y sont bons et le service est au top.
Le rapport qualité-prix est intéressant, voyez par vous même : la carte du Meiselocker.
Le chef du restaurant Jonathan Nay m’a décrit son parcours
Issu d’une famille de restaurateur, la cuisine a toujours été sa passion. Il a rapidement compris qu’il voulait en faire son métier. Il est d’ailleurs très polyvalent : je suis allée deux fois dans cet établissement et je l’ai déjà vu en cuisine, au service et à la gérance.
Cette passion qui l’anime, il souhaite la partager avec nous à travers ses découvertes et sa cuisine. Pour lui, c’est d’ailleurs un travail d’équipe.
« Il faut aimer ce qu’on fait dans la vie, quoi qu’on fasse! La cuisine est pour moi une forme d’art au sens large qui permet de transmettre une émotion culinaire et de rassembler les gens, peu importe les origines ou la classe sociale » Jonathan Nay, chef cuisinier du Meiselocker